Libérer les organisations humaines, penser au-delà des limites des boîtes

Un entreprise est généralement perçue comme une « boîte » avec un intérieur et un extérieur, ce qui crée des limitations et des biais qui ne sont pas nécessaire, je m’explique…

Et si la boîte n’existait pas? Alors il n’y aurait plus de principe de frontière entre interne et externe. Comment pourrait-on alors visualiser nos « organisations » humaines?

Des individus, plus ou moins rapprochés dans le temps et dans l’espace par des activités plus ou moins en commun.
C’est un principe d’écosystème.

Et cet écosystème est toujours changeant et constitué d’une grande diversité d’individus qui peuvent être présents sur un projet tous les jours et d’autres qui vont se greffer pour un temps donné nécessaire, puis s’éloigner pour aller compléter ailleurs.

Des individus et des écosystèmes en interrelations et en mouvement constant : des organisations vivantes.

Les « boites » sont des constructions mentales tout comme le principe « de l’accompagnement externe ou de conseil ».

En 1sec il est possible de faire sauter ces constructions limitantes pour laisser la place à celle des écosystèmes qui va permettre beaucoup plus de libertés et de libérer beaucoup plus de potentiel :

• les humains se réunissent pour des projets communs par le sens, l’envie, les compétences et les appétences
• le principe de CDI n’est plus le même : la sécurité n’est plus de « garder son poste » mais plutôt de toujours pouvoir évoluer, changer et rebondir de projets en projets, suivant les besoins, les envies et les équipes à former
• les organisations ne sont plus isolées et donc plus en concurrence : elles sont des parties d’un même écosystème en coopération qui s’accorde pour gérer au mieux ses ressources suivant une connaissance transparente des besoins de chacun

Et j’en passe. Pour simplifier, pensez une forêt faites de végétaux très différents et de champignons très variés dans le sol.

La société c’est la forêt, les entreprises les végétaux et ceux qui supports et aident les champignons. 🍄

Voici mon manifeste d’un champignon.

Et le plus beau là-dedans c’est qu’il n’y a rien à créer : tout est déjà là et il suffit de l’autoriser en brisant la barrière de la construction mentale.

Il ne s’agit pas de « think out of the box » mais plutôt de « remove the box ».

Plus de boîte. Des possibilités libérées de partout.

Et toi, tu vois encore des boites? pour Prendre soin du collectif.

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